La villa toute l'année
La Villa Gillet est un centre international pluridisciplinaire qui donne la parole aux écrivains, aux penseurs, aux artistes et au public.
La Villa Gillet s’intéresse à toutes les formes de culture contemporaine : littérature, sciences humaines, politiques et sociales, philosophie, arts visuels, arts du spectacle... Elle établit des ponts entre ces différents domaines.
Elle propose une approche vivante des savoirs à travers des rencontres publiques qu’elle organise toute l’année, mais également à l’occasion de ses festivals dont les Assises Internationales du Roman
Elle est par ailleurs à l’initiative, avec la Fondation Genshagen, d’un prix de littérature franco-allemand : le prix Franz Hessel.
Victor Hugo et la Justice
Place de la Comédie
Lyon 1er
Rencontre organisée avec le Théâtre de la Croix-Rousse et l'Opéra de Lyon dans le cadre du cycle "Les causes communes. Justice/Injustice"
Robert Badinter, militant acharné contre la barbarie et l'injustice, a adapté Claude Gueux, bref roman de Victor Hugo, pour en faire un livret d'opéra, Claude. À l'occasion de la création de cet opéra, Robert Badinter donnera une conférence à l'Opéra de Lyon.
Réservation auprès de l'Opéra uniquement par téléphone : 0826 305 325 (0,15€/mn)
A l’issue de la rencontre :
Remise du Prix des Droits de l’homme et du Prix Abd El Kader par Robert Badinter. En collaboration avec la Chaire lyonnaise des droits de l’Homme et l’association l’Hospitalité d’Abraham
En savoir plus sur "Justice/ Injustice"
En dix éditions, le festival est devenu un événement incontournable dans la saison de l’Opéra de Lyon. Du 27 mars au 15 avril 2013, il est dédié à un thème qui anime depuis toujours la condition humaine : la justice et l’injustice, autour de trois soirées d’opéra.
La première soirée sera la création de Claude, un nouvel opéra de Thierry Escaich, dirigé par Jérémie Rhorer ; Olivier Py signe la mise en scène. Le livret est écrit par Robert Badinter, d’après Claude Gueux, bref roman de Victor Hugo et vibrant plaidoyer contre la peine de mort.
Pour la deuxième soirée du festival, Kazushi Ono, chef permanent de l’Opéra de Lyon, dirige Fidelio de Beethoven, que le plasticien et vidéaste Gary Hill met en scène et en images. Plus qu’un opéra, Fidelio est une magnifique démonstration du pouvoir de l’amour contre l’arbitraire.
La troisième soirée du festival réunit Le Prisonnier de Dallapiccola et Erwartung de Schoenberg. Deux opéras courts sur l’attente et l’errance, tous deux dirigés par Kazushi Ono et mis en scène par les magiciens de l’inconscient que sont Alex Ollé et La Fura dels Baus.
Entrée gratuite sur réservation