Le mal, une question toujours ouverte ? par Bruno Cotte

"Mais il ne s’agit alors pas de s’interroger sur ce qu’il est permis ou sur ce qu’il est interdit de faire, de se demander « que dois-je faire ? », ou, en creux, « ne pas faire ? » ou encore, « quel est le pire ou le moins mal ? », questions moralement absurdes quand on parle de crimes de masse, il s’agit plutôt de juger le mal commis par d’autres, d’examiner tel ou tel acte, d’établir tel ou tel fait, d’imputer telle ou telle responsabilité."
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