Nádas Péter - VILLA-GILLET // AIR // LES ASSISES INTERNATIONALES DU ROMAN 2012

Un festival pour tous les lecteurs !



Nádas Péter

ROMANCIER / DRAMATURGE

Hongrie

 

Biographie

Né en 1942, Péter Nádas est un écrivain, romancier et dramaturge hongrois. À l'âge de dix neuf ans, il débute des études de journalisme et de photographie. Entre 1965 et 1969, il est employé en qualité de rédacteur dans un magazine de Budapest. 1965 est aussi l'année au cours de laquelle ses premières histoires sont publiées dans le journal littéraire Uj Irás. Il est l'auteur de 'La Fin d'un roman de famille', paru en 1991, ainsi que du 'Livre des mémoires' en 1998, considéré comme un véritable chef d'œuvre et récompensé par le prix du meilleur livre étranger un an plus tard. Péter Nádas est également à l'origine d'un recueil de nouvelles intitulé 'Le Minotaure', série d'histoires courtes rédigées entre 1960 et 1970 et qui font appel aux mythes et aux légendes. En 1995, le gouvernement autrichien lui décerne le prix de littérature européenne. Romancier, nouvelliste et à l'origine de scénarios, l'écriture de Péter Nádas est caractérisée par une plume humoristique et une oscillation régulière entre le réel et l'imaginaire. L'auteur hongrois décrit avec talent et précision la vulnérabilité et la fragilité de la vie.  

 

Bibliographie 

 

Romans, nouvelles

Histoires parallèles, traduit du hongrois par Marc Martin (Plon, 2012) À PARAÎTRE
Minotaure, nouvelles traduites du hongrois par Gilles Bellamy (Plon, 2005) (287 p.)
La mort seul à seul, traduit du hongrois par Marc martin (Esprit des péninsules, 2004 INDISPONIBLE) (287 p.)
Amour, traduit du hongrois par Gilles Bellamy (Plon, 2000 ÉPUISÉ) (155 p.)
Le livre des mémoires, traduit du hongrois par Marc Martin (Plon, 1998) (778 p.) Prix du Meilleur Livre Etranger 1999
La fin d'un roman de famille, traduit du hongrois par Georges Kassai  (Plon, 1991 - 2001 ÉPUISÉ) (207 p.)

 

Théâtre

Ménage, traduit du hongrois par Ibola Verag et Jean-Pierre Thibaudat (Théâtrales, 1996) (52 p.)
Rencontre, traduit du hongrois par Ibola Virag et Jean-Pierre Thibaudat (Théâtrales, 1990) (75 p.)